Comment éviter les facteurs de stress chez les chevaux

Tout être humain réagit de façon différente aux situations liées au stress. Cela peut passer par de simples tics, fumer, se mordre la lèvre ou être nerveux… et la liste est longue. Chez nos amis équidés, il se passe exactement la même chose ! Par exemple, ils peuvent connaître des battements de cœur qui s’accélèrent, une tension sanguine qui galope à vitesse grand V ou une non maîtrise des mouvements. Parfois, il arrive même qu’un ulcère soit développé. Il est donc important de bien analyser ces facteurs, et, aussi à bien les gérer afin que votre cheval puisse être en de meilleures formes.

Les facteurs de stress chez les équidés

Tout d’abord, une multitude de facteurs de stress peuvent être déclenchée chez le cheval. Il est indispensable de savoir qu’un cheval est toujours sur le qui-vive d’un potentiel danger. Réduire ce facteur, c’est éliminer la possibilité de générer du stress.

Ensuite, pousser un cheval au-delà de ses capacités physiques et mentales lors des entrainements est très mauvais pour lui. En effet, il faut toujours avoir à l’esprit qu’un cheval fonctionne comme l’être humain et qu’il a lui aussi ses propres limites. Lui demander beaucoup d’effort c’est augmenter ses chances de développer un facteur élevé de stress.

De même que pour l’Homme, s’adapter à un groupe n’est pas toujours évident. Il faut rentrer dans les conventions sociales pour pouvoir être accepté d’un groupe. Chez les chevaux, leurs interactions se déroulent exactement selon le même procédé que le notre, c’est-à-dire qu’un équidé peut très bien ne pas se sentir à sa place ou se sentir rejeter des siens.

On peut ajouter à cette liste… les voyages ! En effet, transporter un cheval peut-être terrifiant pour lui et lui susciter une crise d’angoisse. Il faut faire attention à bien l’analyser après chaque transport afin de voir s’il n’a pas été trop bouleversé.

Comment contrer ce stress

Il faut savoir qu’il existe 3 étapes dans un état de stress. La première étape est la phase « d’identification », c’est-à-dire que votre cheval prend conscience qu’il y a un danger. Ensuite, la deuxième étape est celle où son corps va réagir pour contrer le problème. Dans la troisième et dernière étape, il se peut que votre cheval ne se soit pas adapter à la situation. Au delà de quatre jours, le corps sécrète trop de cortisone qui attaque le système immunitaire. Le corps se retrouve alors sans défense. Dans ce cas, le cheval peut développer un ulcère.

Afin de lutter face à ce dérangement, il est important de bien nourrir son équidé et de lui donner des compléments alimentaires qui existe dans différentes gammes de compléments alimentaires disponibles sous diverses formes de déclinaisons et pour tous les prix : poudres, liquides, seringues…

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